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jeudi 30 mai 2013

Un moment de Grâce....


J'ai reçu ceci par mail. J'ai pleuré en le lisant.... je le publie pour ceux qui ne l'ont pas vu. L'histoire ne dit pas comment a fini le taureau qui a quand même l'épée plantée dans le dos... Mais si la grâce pouvait toucher tous ces hommes !!!
Cette photo incroyable marque la fin de la carrière du matador Alvaro Munera de Torera. En plein combat, il s'est effondré de remords quand il s'est rendu compte qu'il incitait cette douce bête à se battre. A partir de ce moment-là, il devint un farouche adversaire de la tauromachie. Le regard du taureau sur cette photo en dit long. Même péniblement blessé par les picadors, cet animal na pas attaqué le toréador. Alvaro Munera a déclaré :
 « Soudainement, j'ai regardé le taureau. Il avait cette innocence que tous les animaux ont dans leurs yeux et il m'a imploré du regard.
Ce regard fut pour moi comme un cri pour la justice qui retentit au plus profond de moi. Ce ressenti déclencha en moi comme une prière, car si nous avouons, souhaitons-le, nous serons pardonnés. J'eus l'impression d'être la pire merde sur la terre. […] Les vaches sont parmi les plus douces créatures qui respirent ; personne ne montre plus de tendresse passionnée à leurs jeunes lorsqu'ils sont privés d'eux. Bref, je n'ai pas honte de professer un amour profond pour ces paisibles créatures. » Voici un extrait d'interview où ce toréador explique comment il est devenu végétarien et militant contre la tauromachie : « Et soudain le taureau m'a regardé, son regard qui reflétait l'innocence de tous les animaux me suppliait. C'était le combat contre l'injustice non explicable, l'ultime requête avant la cruauté inutile. Cette fois il ma enseigné la pitié et j'eus l'impression d'être la pire ordure du monde. » 


Et puis j'ai voulu chercher si cette magnifique histoire était vraie après l'avoir publiée un peu vite ! J'ai des doutes sérieux.  Je retranscris cet interview qui semble confirmer que ce matador est devenu tétraplégique suite à une encornade. Néanmoins il semble exact qu'il soit devenu abolitionniste de la corrida.... (le tout vérifié sur Wikipédia)


<< Un jour de 1984, un taureau répondant au doux nom de Terciopelo (violet) a encorné le torero colombien Álvaro Múnera, « El Pilarico ». Et depuis ce jour-là il trace en fauteuil roulant. Múnera avait 18 ans à l’époque. Son meilleur ami, « El Yiyo », a été blessé à mort quelques mois plus tard, et le manager des deux toreros s’est suicidé trois ans après.

Múnera est devenu un fervent défenseur des droits des animaux et rien moins que l’Antéchrist pour les aficionados de la tauromachie. Maintenant, il travaille au sein du Conseil municipal de Medellín, utilisant son statut pour défendre les droits des personnes handicapées et pour promouvoir des campagnes anticorrida.


Vice: Qu’est ce qui t’a poussé à devenir torero ?

Álvaro Múnera: 
Je suis né à Medellín, mon père m’a emmené voir des corridas dès que j’ai eu 4 ans. Le contexte familial était totalement pro-taurino. Chez nous, il n’y avait pas de foot ni rien, il n’y en avait que pour les taureaux. Ça représentait tout pour mon père. À 12 ans, j’ai choisi de devenir torero. Cinq ans plus tard, je suis devenu célèbre à la féria de Medellín. J’ai rencontré Tomás Redondo, qui était le manager d’El Yiyo. Il a accepté de devenir le mien aussi. Il m’a fait aller en Espagne. Je m’y suis battu 22 fois, jusqu’à ce que le 22 septembre 1984, je me fasse coincer par un taureau. Il m’a embroché la jambe gauche et m’a jeté dans les airs. Bilan : un trauma crânien et la colonne vertébrale atteinte. Le diagnostic était sans appel, plus jamais je ne marcherais. Quatre mois plus tard, je suis parti aux États-Unis pour entamer ma rééducation, et j’ai eu l’occasion d’aller au lycée. Les États-Unis sont résolument anticorrida, et du fait de mon ancienne profession, j’avais l’impression d’être un criminel. Je suis devenu un défenseur de la cause animale. Je me bats pour que chaque être vivant ait le droit d’échapper à la torture. J’espère pouvoir le faire jusqu’à la fin de mes jours.

Et tu n’avais jamais eu envie d’arrêter avant ?

Il y a eu des moments critiques. Un jour, j’ai tué une génisse pleine et j’ai vu comment le fœtus était extrait de ses entrailles. C’était si horrible que j’ai gerbé et que je me suis mis à chialer. J’ai voulu tout arrêter à ce moment-là mais mon manager m’a donné une tape dans le dos en disant que je ne devais pas m’en faire, que j’allais devenir une figure importante de la tauromachie et que des scènes comme celles-ci étaient banales dans la profession. Je suis navré d’avoir manqué cette première occasion d’arrêter. J’avais 14 ans et je manquais de bon sens. Plus tard, lors d’un combat en salle, j’ai dû m’y prendre à 5 ou 6 fois pour achever le taureau à coups d’épée. Le pauvre animal, les entrailles à l’air, refusait encore de mourir. Il a lutté de toutes ses forces jusqu’à son dernier souffle. Ça a provoqué un électrochoc, et une fois de plus je me suis rendu compte que cette vie n’était pas pour moi. Mais, mon voyage en Espagne était déjà organisé, alors je me suis senti obligé d’y aller. Et puis il y a eu cette troisième fois. C’est comme si Dieu s’était dit : « Si ce gars-là ne veut pas écouter la voix de la raison, il devra apprendre à la dure. » Et bien sûr, j’ai appris.

Tu regrettes d’en avoir été jusque-là, jusqu’au fauteuil roulant ?

Pas vraiment. Je pense que c’était une bonne chose parce que ça a fait de moi un homme meilleur. Après la rééducation, j’ai senti le besoin de réparer mes erreurs.

De nombreux défenseurs des droits des animaux ont applaudi ta décision, mais beaucoup d’autres disent qu’ils ne peuvent pas te pardonner. Ils t’appellent même le « boucher ».

Il y en a pas mal qui pensent que j’ai de l’amertume à cause de l’accident. C’est n’importe quoi. J’ai reconstruit ma vie et je l’ai dédiée à aider des centaines de personnes handicapées à aller de l’avant, en plus de lutter pour les droits des animaux. Et puis franchement, je n’aurais certainement pas pris la défense de mon bourreau si cela avait été le cas. Un taureau m’a cloué à un fauteuil roulant et un autre a tué mon meilleur ami ! Je devrais logiquement être la dernière personne sur terre qui se préoccupe de ces bêtes-là. Mais bon, je dois dire que je comprends ceux qui me reprochent mon passé. Dans une certaine mesure, je partage leur avis. Mon seul espoir est d’avoir une vie suffisamment longue pour que je puisse m’amender de tous mes crimes. Ce que je veux, c’est le pardon de Dieu. S’il ne me pardonne pas, c’est qu’il aura de bonnes raisons.

Chiquilín, un autre torero repenti, affirme avoir vu des taureaux pleurer. Il dit ne plus pouvoir faire de mal à une mouche désormais.

Je lui tire mon chapeau. C’est un véritable héros qui a appris sa leçon par le raisonnement et la réflexion.

Tu es en contact avec d’autres toreros repentis ?

À vrai dire, je ne sais pas s’il en existe beaucoup. En revanche, il y a de plus en plus d’ex-aficionados. Des gens qui ont compris à quel point le spectacle était macabre, et qui ont arrêté d’aller aux arènes. Parfois, ils me racontent leurs expériences personnelles et me remercient pour les articles que j’écris.

Et pourquoi être devenu un défenseur des droits des animaux ?

Aux États-Unis, je me suis retrouvé à devoir affronter une société anti-taurine incapable de concevoir qu’une autre société puisse autoriser la torture et le massacre des animaux. Mes camarades de classe, les médecins, les infirmières, les autres handicapés moteur, mes amis, ma petite amie américaine et la tante de l’un de mes amis m’ont dit que je méritais ce qui m’était arrivé. Leurs arguments étaient si bétons que j’ai dû accepter que c’était moi qui avais tort et que les 99 % de la race humaine qui sont fermement opposés à ça avaient totalement raison. L’ensemble d’une population n’est pas à blâmer pour les décisions de son gouvernement. Preuve en est que la plupart des gens en Espagne et en Colombie sont réellement anticorrida. Malheureusement, il y a une minorité de tortionnaires dans chaque gouvernement, et ils protègent ces pratiques barbares.

Si les habitants des deux pays sont contre la tauromachie, pourquoi les corridas existent-elles encore ?

Eh bien, je crois que la tauromachie finira par disparaître si elle ne supprime pas les phases de torture et de mise à mort. Les valeurs changent, la plupart des jeunes ayant été un minimum à l’école se disent contre ces traditions cruelles.

Dans tes articles, tu as associé tauromachie et manque de raffinement de la part de ses aficionados. C’est pas un peu facile ? Comment tu expliques que des intellectuels comme Ernest Hemingway, Orson Welles, John Huston et Pablo Picasso aient apprécié la corrida ?

Attends, avoir du talent ne te rend pas plus humain, plus sensé, ou plus sensible. Il y a beaucoup d’exemples d’assassins avec un Q.I. élevé. Mais seuls ceux qui se sentent solidaires des autres êtres vivants peuvent devenir meilleurs. Ceux qui considèrent que la torture et la mise à mort d’un animal innocent sont une source de plaisir et d’inspiration sont mesquins et méprisables. Peu importe s’ils ont peint de beaux tableaux, écrit de merveilleux ouvrages, ou fait un grand film. Une plume peut être utilisée avec de l’encre ou du sang, et beaucoup de terroristes et de trafiquants de drogue du XXIème siècle ont des diplômes universitaires épinglés au mur. Les vertueux, c’est ce qui compte vraiment aux yeux de Dieu. >>


source: Vice France



Commentaires trouvés :

<< Attention cette photo est trompeuse ! Il ne s'agit en aucun cas d'une attitude de contrition de la part du torero, bien au contraire !
Ici, le torero (peut-être même pas Munera d'ailleurs) "fait son show" pour amuser son public !
C'est le "desplante" selon le jargon tauromachique, c'est à dire, une posture de défiance du matador, pour ridiculiser l'animal, déjà blessé à mort !
C'est le sadisme et la bêtise à l'état pur !

ATTENTION : CETTE PHOTO VOUS TROMPE; Vous croyez que le torero se morfond : c'est FAUX !!!! C'est une mise en scène apprécié des puristes et des spectateurs, le "desplante" : le matador se moque du toro avant de l'achever. Je crois que là, niveau humanité, on touche le fond. >>

Source Newsring : Extraits
 
Voilà ! Comment on nous trompe !! J'ai cherché dans les hoax mais rien trouvé
Je publie tout ça à titre d'information : on doit toujours se méfier de tout et surtout de ce qui est trop beau !

LIRE AUSSI CET ARTICLE SUR LE BLOG DE MARGUERITE : ICI

jeudi 23 mai 2013

Après-midi "Portes Ouvertes" Dimanche 26

Dimanche, la météo locale prévoit du soleil.... Les iris sont au maximum de la floraison, c'est le bon créneau pour venir y jeter un coup d'oeil....J'ouvre donc le jardin dimanche après-midi et vous y attends nombreux pour admirer une bonne centaine de variétés. (on peut passer aussi  samedi  après-midi  mais la météo n'est pas bien bonne....)

































































dimanche 12 mai 2013

Petit coup d'oeil à l'infirmerie

Au mois de mai, c'est vrai, il n'y en a que pour les iris.... alors voici quelques photos félines :

 les 2 dernières chatonnes entrées fin 2012, sauvages, nées dans le village....


 et les 1ères de 2013 : Juliette qui nous a été confiée après le suicide de son maître.....


 une vieille chatte trouvée errante


 tout le monde se tolère bien, même Cachou la solitaire ne pose pas de problème


 après avoir refusé de sortir pendant l'hiver (elle fait comme moi : elle hiberne!), la voilà qui a investi les greniers des écuries où elle peut s'isoler et se sentir en sécurité....


fond d'écran en 1024x768


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Sa Mijorée

samedi 11 mai 2013

Fonds d'écrans iris

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